Forum Camoin du Tarot

[Lion88]

Bonsoir,

Mon époux s'est fait agressé à l'arme blanche le 08 décembre et contrairement à toute attente, l'agresseur est retourné paisiblement chez lui, mon mari, lui a été touché au visage et à la main. Etant déterminée, j'ai fait des pieds et des mains pour qu'une enquête soit ouverte car, ce type est dangereux pour la société et d'après la police, il ne manque plus que la décision du magistrat pour que l'agresseur soit arrêté.

Ma question est donc: "l'agresseur de F. va t il être arrêté et placé en prison?"





J'espère que vous lirez et répondrez à mon poste.
Lion88

[Lion88]

Je reviens vers ce sujet tout en sachant que je ne recevrai certainement pas de réponse mais je tente

L'instruction est terminée et une date est arrêtée pour savoir si l'agresseur de mon époux va être jugé ou non. Nous espérons que la 1ère solution va être choisie et nous ferons tout pour que ce soit le cas mais la justice est tellement spéciale parfois qu'on se méfie.

J'ai donc envie de poser la question suivante: " La chambre du conseil va-t-elle décider de poursuivre en justice S.C. pour l'agression aux couteaux commise sur F.B. ?"





D'avance merci pour votre réaction et si personne ne répond et bien tant pis, je comprendrai

Lion

[Cartevitale]

Salut Lion88

Le couteau du bateleur est solutionné par la Justice, de plus la Force qui maîtrise donc "force de l'ordre", et le Jugement qui annonce le futur verdict du Juge en Pape (qui pour le moment est le mari agressé) ça m'a tout l'air de partir en justice cette affaire, oui...

[Lion88]

Merci cartevitale,

Nous en aurons plus le 22 mai, jour de l'audience. on verra si il passe au tribunal correctionnel ou en cours d'assise.

Bonne journée

Lion

[francine letoile]

Bonjour à toutes,


"08 décembre 2012 et contrairement à toute attente, l'agresseur est retourné paisiblement chez lui"

Entre décembre 2012 et mai 2014, il se sera écoulé 18 mois - Lune coiffant le 1er tirage (décembre 2012), on pouvait supposer l'échéance de ... mai 2014 (facile après coup !).

"paisiblement " : que devait-il faire d'autre ? Pouvez-vous détailler quelque peu ce qui s'est passé depuis le 08/12 ? La police connaissait-elle déjà l'agresseur ? A-t-il un casier judiciaire vierge ? ...

"l'agresseur de F. va t il être arrêté et placé en prison?" : 2 questions en une ...

Chariot : déplacement entravé. Qui concerne-t-il ?
Bateleur à l'envers (au passé) : s'il s'agit de l'agresseur vos questions le concernent), ce n'est pas un novice en la matière ?
Pendu à l'envers : l'agresseur (s'il est bien identifié au Pendu) aurait "prémédité" son affaire ? Votre mari et lui se connaissaient-ils déjà ? Y aurait-il eu altercation auparavant ?
Empereur en solution à la SN à l'envers : qui se serait "opposé" à sa transformation (en supposant toujours qu'il s'agit de l'agresseur). Ce jeune était-il déjà en réinsertion ?...

Papesse à l'envers (au futur, par rapport à décembre 2012, nous conduirait vers février 2013 ...) : que s'est-il produit à cette date de février 2013, au niveau administratif par exemple ? Quels papiers auraient dû être remplis et ne l'auraient pas été ?

Voilà autant d'hypothèses de travail.. Si cela vous dit.

Tirage de février 2014 :
"La chambre du conseil va-t-elle décider de poursuivre en justice S.C. pour l'agression aux couteaux "
De part et d'autre, les avocats ont-ils bien bouclé les plaidoiries ? La Justice s'oppose à l'inertie du Bateleur, tandis que l'Empereur s'oppose à la complaisance du Pape : cela a-t-il du sens pour vous en tenant compte de ce que vous savez de cette affaire ?

Cet Empereur (déjà présent lors du tirage de décembre 2012 - est-ce la même instance ?) freine la Justice, en ramenant la situation sur un plan terre-à-terre... Qu'est-ce que cela peut bien vouloir dire ?

Tribunal correctionnel ou Cour d'assises ? Les mobiles sont différents : la Cour d'assises juge des crimes. Est-ce le cas ? Votre mari a-t-il eu un arrêt et/ou une incapacité de travail (impossibilité de poursuivre son activité à ce jour ?).

Bonne journée

[Lion88]

Bonjour, Bonsoir,
Francine Létoile, je suis vraiment heureuse que vous vous soyez arrêtée sur mon poste et que vous y marquiez un intérêt.
Je vais tenter d'être complète dans mes explications qui vont être longues puisque je vais être complète.
De la nuit du 08 au 09 décembre 2012 aux alentours de 01h00 du matin, mon époux s'est rendu au marché de noël du village voisin pour y récupérer nos 2 enfants. Ce marché de noël se déroulait sous un grand chapiteau. Mon époux n'y est pas entré, a attendu mes enfants en fumant une cigarette dehors. Pendant que mon fils disait au revoir à ses copains, ma fille est allée près de mon époux. Un homme se tenait à quelques mètres d'eux. Tout à coup, un autre homme est sorti du chapiteau en courant et s'est jeté sur le 1er qui est tombé. Le second a commencé à "tabasser" le 1er sans que celui-ci ne puisse réagir. Les coups étaient tellement forts que mon époux s'est approché pour retirer l'agresseur. Mon époux souffrant des hanches a perdu l'équilibre et est tombé, l'agresseur est également tombé sur mon époux. Ensuite l'agresseur s'est relevé et est parti en courant. Ma fille a relevé son papa et lui a dit: "viens, ce type est dangereux, je vais crier après mon frère et on s'en va." Ils étaient en train de faire demi-tour quand ils ont entendu derrière eux: "JE VAIS TE TUER". Ils se sont retournés et ont vu l'agresseur tenant un couteau de boucher dans chaque main qui s'approchait en courant vers ma fille et mon époux. Il a eu le temps de pousser ma fille pour la protéger et il a reçu des coups de couteau dans le visage, il a réussi à s'emparer de la lame du couteau qui était destinée au cœur. L'accroc au niveau du cœur sur le blouson de mon époux prouve que s’il ne s'emparait pas de la lame (qui lui a valu dix points de suture), il était touché en plein cœur.
Les badauds étaient arrivés sur place et, ils se sont emparés des couteaux, de la lame cassée et ont maitrisé l'agresseur. La police est arrivée et s'est rendue dans le chapiteau pour savoir ce qu'il s'était passé. Une des organisatrices du marché de noël travaille comme assistant administratif à la police et a déclarer que mon époux ennuyait l'agresseur depuis des heures. Le problème est qu'elle n'avait pas vu mon époux puisqu'il n'était pas entré dans le chapiteau. D'après moi, elle a voulu faire de son genre parce que c'était ses collègues. Suite à ses déclarations, les policiers ont cru que c'était une bagarre d'ivrognes. Ils ont dit) mon époux (en état de choc et ensanglanté) de les attendre, ils se sont rendus chez l'agresseur qui habitait à proximité, en sont ressortis quelques minutes plus tard, sont venus près de mon époux et lui ont dit qu'il pouvait aller à l'hôpital recoudre. Ils lui ont dit de se présenter à l'hôtel de police le lendemain. Il est donc allé à l'hôpital et le lendemain, il s'est présenter pour faire sa était suspect. Il n'a pas fait de déclaration, j'ai contacté par mail le commissaire et lui ai tout expliqué. Il a demandé à un de ses inspecteurs de faire une contrenquête. Il m’a dit qu’il y avait beaucoup d'erreur de commises de la part de ses collègues.
Mais en attendant, l'agresseur court toujours. Le lendemain de l'agression, il a menacé de mort mon époux via Facebook (un de ses contact l'a dénoncé à la police) et quelques mois plus tard (en juillet 2013) il a demandé à un de ses clients drogués, de tabassé à mort mon époux quand il le croiserait en échange il recevrait de la drogue. Mon époux a été faire une déclaration à la police. Nous craignons d'ailleurs qu'il vienne nous faire des représailles quand il recevra la convocation à la chambre du conseil mais il faut qu'il paie pour ce qu'il a fait.

De mon côté, je m’étais un peu renseignée sur l’agresseur et j’ai appris qu’il était un gros dealer qui ne se cache pas, qu’il avait été accusé d’attouchements sur une jeune fille de 15 ans qu’il harcelait. Il a agressé une surveillante d'école qui avait osé faire une remarque à un de ses enfants (elle n'a pas osé déposé plainte pour les coups reçus).
Il y a 13 ans, il a été incarcéré mais acquitté (Je ne sais pas pour quels faits).

Mon époux a été vu par l’aide aux victimes où on l’a conseillé de se constitué partie civile. Nous avons donc contacté un avocat. Nous lui avons demandé de nous constituer partie civile. Nous étions vers le mois de février 2013. Mais il ne l’a jamais fait et après de nombreux mails, coups de téléphone restés sans réponses. Nous avons décidé de chercher après un autre avocat et avons décidé de prendre une de nos connaissances, qui a jusqu’à présent déjà bien travaillé.
Vous me demandiez pourquoi la cour d’assise ou TC. Il faut savoir que la cour d’assise ne juge pas que les meurtres, assassinats, le tribunal correctionnel peut le faire aussi.
Dans notre situation, l’agresseur retourne chez lui pour prendre des couteaux donc il y a préméditation. S’il est allé chercher des armes blanches, il avait l’intention de donner la mort (l’accroc dans le blouson au niveau du cœur en est la preuve), d’où on parle de « tentative d’assassinat avec préméditation. La cour d’assisse (si les juges le décident) peut très bien être choisi autant que le Tribunal correctionnel. Ce qui serait injuste c’est qu’un non-lieu soit prononcé, alors là nous serions totalement dépités.
Notre avocate et mon époux vont lire de dossier le 30 avril pour pouvoir préparer l’audience du 22 mai. De mon côté, je vais préparer les questions utiles pour que l’avocate sache ce que nous voulons dire.
J’espère avoir été claire et nette et que vous pourrez mettre en parallèle le tarot et mes réponses.
Encore merci pour votre intérêt.

Lion

[francine letoile]

Bonsoir à toutes,

"La chambre du conseil va-t-elle décider de poursuivre en justice S.C" :

Justice et Empereur / Pendu : Cette instance est-elle en attente de quelque chose ? Expertise ? Ou autre ?

Depuis la tentative, l'agresseur a-t-il eu d'autres incidents dans son casier ? S'est-il tenu tranquille ? Connaissez-vous (par le commissaire de police entre autre) l'importance de l'agresseur ? Quel est son réseau de protection ?

Le Jugement en fin de tirage annonce la réunion, mais quel en sera le résultat ?

Affaire classée sans suite ?
Ajournement ?
Demande d'expertise ?

Votre mari a-t-il gardé des séquelles suffisantes (invalidantes, avec indemnités financières ?) pour accroître le geste de son agresseur ?

Autant de mesures "dilatoires" qui pourraient correspondre à ce Pendu ?


Quelle est votre protection contre les "mesures disciplinaires" de l'agresseur ? Que fait la police qui le suit sur Facebook (on peut le supposer...) ?


Peut-être serait-il bon d'effectuer deux tirages séparés pour le "22 mai 2014, jour de l'audience.

1 - on verra si il passe au tribunal correctionnel

2 - en cours d'assise.

Si d'autres lecteurs pouvaient donner leur lecture, ce serait bénéfique pour tout le monde. Merci.

Bonne soirée

[Lion88]

La chambre du conseil va seulement se passer le 22 mai car l'instruction a été longue et en plus comme il est en liberté, notre affaire n'est pas prioritaire.

L'agresseur continue son petit trafic jusqu'à devant l'école de ses enfants, sans être inquiété par qui que ce soit. D'après nous, il serait un informateur de la police, ce n'est pas possible de se comporter de la sorte sans être privé de liberté. Suite à mon implication de faire bouger les choses, j'a rencontré le maire de ma commune qui m'a demandé ce que j'attendais de lui, ensuite je l'ai rencontré une nouvelle fois et il m'a dit que mon agresseur était une bête traquée, qu'il fallait le comprendre. L'agresseur est tellement dangereux que tout le monde en a peur. Nous ne sommes pas protégés et depuis que nous avons reçu la convocation de l'audience, je me dis qu'il est bien probable qu'il vienne mettre le feu chez nous ou venir nous agresser. On est toujours sur nos gardes. La police apparemment a choisi son camp

Mon époux a des cicatrices dans le visage mais c'est plutôt psychologique qu'il a des séquelles. Depuis qu'il a reçu la convocation, il est mal. Il m'a dit qu'il a peur d'être confronté à lui. Je lui ai d'ailleurs dit que s'il fallait il n'irait pas à l'audience, j'irai seule avec l'avocate.

Je fais donc 2 tirages distincts:

"La chambre du conseil du 22 mai 2014 va-t-elle décider de renvoyer S.C. au tribunal correctionnel pour être jugé?"




" La chambre du conseil du 22 mai 2014 va-t-elle décider de renvoyer S.C. à la cour d'assise pour être jugé?"






A vous lire,
Merci
Lion

[francine letoile]

Bonsoir Lion 88,

" mon agresseur était une bête traquée, qu'il fallait le comprendre. L'agresseur est tellement dangereux que tout le monde en a peur. Nous ne sommes pas protégés et depuis que nous avons reçu la convocation de l'audience, je me dis qu'il est bien probable qu'il vienne mettre le feu chez nous ou venir nous agresser. On est toujours sur nos gardes.

La police apparemment a choisi son camp" [si l'agresseur est un indic, ceci expliquerait cela].

C'est plutôt inquiétant, si les jeux sont faits d'avance dans votre dossier.
Pourriez-vous (ou votre avocate ?) savoir pourquoi l'agresseur n'a pas été condamné ? A la suite de quelles circonstances ?

Que vous propose l'avocate dans la perspective que l'agresseur se rapprocherait de votre domicile ?


Je vais tenter une lecture des lames (peut-être ne pourrais-je pas vraiment conclure, il me semble qu'il manque des éléments concrets dans le dossier (voir avec l'avocate). De plus, votre mari devrait affronter son agresseur, histoire de ne pas monter son inquiétude. Qu'en pensez-vous ? (Quitte à être accompagné de voisins, ou de cousins, ou de copains ?)

La chambre du conseil du 22 mai 2014 va-t-elle décider de renvoyer S.C. au tribunal correctionnel pour être jugé?""

- chambre du conseil / Empereur au présent ?
- RdF : agression de décembre 2012 (va-t-elle retenir le fait non prémédité, arrivé par "surprise", l'occasion faisant le larron ?)
- Papesse : tient un livre entre ses mains. Quel en est son contenu ? La Papesse arrive un peu à contretemps de l'Empereur.
L'énergie cumulée de ces 3 lames donne la Maison-Dieu (? en général, c'est un lieu d'enfermement : la prison ? la maison d'arrêt ? le sursis ??)


La chambre du conseil du 22 mai 2014 va-t-elle décider de renvoyer S.C. à la cour d'assise pour être jugé?"

- chambre du Conseil / Justice au présent (juridiction plus haute que le tribunal correctionnel ?) stoppe net l'Amoureux (le rassemblement de tant de gens : vous, le marché de Noël, les visiteurs, l'agresseur, la police...)

Grand développement dans le futur :

Justice - Force - SN - Diable : vont dans le bon sens (croissant),
en enserrant les lames à l'envers Empereur - Ermite - Pape (écho de l'enquête malmenée ?)

Tempérance est au centre de votre tirage : faire confiance en votre droit à venir ?
Etoile (vous ? votre avocate ?) écoute parler l'Impératrice (s'agirait-il d'une présidente de séance ?)
(C'est ici qu'il faudrait savoir pourquoi l'agresseur n'a pas été condamné précédemment, alors qu'il y a eu voies de fait ?
Y avait-il des conditions de comportement pour éviter un jugement sévère ultérieur ?)
Chariot : "feuillette" les pièces du dossier, les étudie,
pour aboutir à la Papesse (comme le tirage précédent) : celle qui tient en ses mains le jugement (le greffier ?),
et de nouveau la MD (lieu d'enfermement).

Sans être péremptoire dans ces tirages, l'agresseur serait sérieusement inquiété ?
S'il sévit dans votre région, pourquoi ne pas essayer d'approcher les journaux (c'est à double tranchant...) pour rendre compte auprès de la population ?

En espérant que ceci vous aide à mieux appréhender la situation.

Bonne soirée


Serai absente quelques jours.

D'autres lecteurs peuvent intervenir dans ce post s'ils ont des éléments plus pertinents.

[Lion88]

Nous rencontrerons notre avocate pour préparer la lecture du dossier. Je ne peux y assister donc, je vais mettre par écrit ce qu'elle doit impérativement chercher pour le jour de l'audience.

C'est vrai que mon époux devrait y assister mais il est encore fort choqué de cette agression (il ne faut pas oublier qu'il a vu la mort de près). Il fera ce qu'il veut, s'il se sent capable ou non.

Les médias seront avertis si un non-lieu est annoncé. Un jour je me suis permise de faire un commentaire sur Facebook (je ne citais aucun nom, aucun lieu,...) je parlais juste de l'agression et la police m'a téléphoné pour m'obliger à retirer mon poste sinon il me faisait un PV pour diffamation, l'agresseur est beaucoup plus puissant que ce que l'on pense.

J'ai envie de poser la question suivante:
"La chambre du conseil du 22 mai 2014 va t elle décidé d'un non lieu dans l'affaire à charge de S.C. ?"





Si d'autres intervenants pouvaient nous éclairer, ce tirage est très important et la lumière de plusieurs serait la bienvenue

MERCIIIIIIII

Lion

[francine letoile]

Bonjour Lion 88,

en attendant de revenir sur le Forum,

voici ce que j'ai trouvé sur Internet.

Libre à vous de vous en inspirer. Il y a moyen de consolider votre dossier, en trouvant les "vrais" appuis, quitte à passer au-dessus du niveau "local", tout en gardant la prudence adéquate... Le niveau national pourrait peut-être vous aiguiller en matière de protection ? (Si vous voulez en savoir plus, saisissez sur Google, ou autre moteur de recherche "lutte anti-drogue en France"

"
....Introduction

La lutte contre la drogue revêt deux aspects :

la lutte contre l’usage qui s’exerce envers les consommateurs de drogues interdites ou ceux qui abusent de l’alcool et sèment des troubles,
la lutte contre le trafic au niveau national ou international qui s’exerce aussi bien contre le petit dealer de quartier que contre les responsables des filières internationales et contre tous ceux, à tous les niveaux, qui participent directement ou indirectement au trafic de drogue.

La lutte contre la drogue mobilise en France de nombreux ministères et administrations. La Police nationale du ministère de l’intérieur, la Gendarmerie du ministère de la défense nationale ou les Douanes du ministère de l’économie et des finances sont en première ligne sur le terrain pour rechercher et appréhender les contrevenants. Il faut également mentionner l’action de services spécialisés créés récemment, les GIR ou groupes d’intervention régionaux qui rassemblent dans des petites équipes, au niveau régional, des éléments de la police, de la gendarmerie, des douanes et des impôts, ces éléments travaillent en étroite coopération pour plus d’efficacité.

De nombreuses autres administrations agissent également en arrière plan dans cette lutte, que ce soit des services de la police nationale qui ont une fonction de coordination sur le sol français ou auprès d’instances internationales, que les services financiers spécialisés du ministère de l’économie et des finances, le ministère de la justice qui gère les suites judiciaires à donner aux infractions constatées ou même le ministère de la santé et celui de la jeunesse et des sports qui luttent contre le dopage.

Sous l'autorité du ministère de l'emploi et de la solidarité, la mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT) coordonne les actions entreprises par les divers ministères (intérieur, défense, budget, jeunesse et sports, éducation nationale, affaires étrangères).

Les principaux ministères concernés sont les suivants :

Le ministère de l'intérieur

Sous le contrôle des magistrats, la police nationale recherche les auteurs des infractions à la législation sur les stupéfiants, depuis l'usager jusqu'au trafiquant international.

Sur le terrain s’exerce l’action de services spécialisés de la police judiciaire (PJ) tels la brigade des stupéfiants de Paris et les groupes "stups" spécialisés dans le trafic de drogue et l'Office Central de répression de la grande délinquance financière (OCRGDF) spécialisé dans la lutte contre le blanchiment de l'argent.
Mais l’action de terrain est également le fait de la Sécurité Publique avec les agents en tenue, les groupes d'enquête des sûretés départementales, les unités d'investigation et de recherche et les brigades anti-criminalité des commissariats, ainsi que de la Police aux Frontières (PAF) et des Renseignements Généraux (RG).

En arrière plan on trouve les actions de coordination avec l'office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants (OCRTIS) de la PJ qui centralise toutes les données statistiques et opérationnelles en matière de drogue et de trafic associé et, au dessus, la mission de lutte anti-drogue (MiLAD), rattachée au cabinet du directeur général de la police nationale, qui anime et coordonne les stratégies d'action de l'ensemble des services de police impliqués.

On trouve également les actions de coopération avec le bureau central national d'Interpol qui assure les échanges d'informations entre les services français et les polices du monde entier et l'unité nationale d’Europol qui participe aux échanges de renseignements entre les services spécialisés des pays de l'Union Européenne.
Le ministère de la défense

La gendarmerie nationale est une Direction Générale du ministère de la Défense. Elle est mise à disposition du ministre de l'intérieur pour l'exercice de ses missions de sécurité intérieure.

Comme les policiers, les gendarmes accomplissent les actes de police judiciaire sous le contrôle des magistrats. Ils poursuivent les délinquants tant au niveau de l’usage de drogue que du trafic avec les mêmes compétences.
Le ministère de l'économie et des finances

La douane, avec ses directions régionales et ses brigades de surveillance, agit aux frontières ou à l’intérieur du pays, notamment dans les aéroports. Elle recherche les produits stupéfiants dans les bagages et dans les colis de marchandises, elle recherche également les produits précurseurs.

La douane dispose d’une Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED), chargée de la lutte contre la contrebande organisée et dont certains agents sont spécialisés dans les enquêtes concernant les filières mafieuses et internationales.

La Mission Nationale de Contrôle des Précurseurs Chimiques (MNCPC) a pour fonction d’animer et de coordonner la coopération entre les acteurs administratifs et industriels en ce qui concerne la surveillance des précurseurs chimiques susceptibles d’être utilisés dans la fabrication de drogues.

Le Traitement du Renseignement et Action contre les circuits Financiers (TRACFIN) est chargé de surveiller les transactions suspectes opérées par des institutions financières. Il retransmet ces informations à l'Office Central de Répression de la Grande Délinquance Financière : l’OCRGDF
Les Groupes d'Intervention Régionaux

Créés en 2003 les groupes d’intervention régionaux (GIR) sont susceptibles d’agir contre la délinquance sous tous ses aspects et particulièrement dans la lutte contre le trafic de drogue en utilisant l’ensemble des moyens législatifs et réglementaires, au plan pénal mais également fiscal, douanier ou administratif.

Les GIR sont administrativement rattachés aux services régionaux de police judiciaire ou aux sections de recherche de la gendarmerie nationale.
Chaque groupe est composé d’une structure permanente : l’Unité d’Organisation et de Commandement ou UOC, et de personnels désignés par chaque directeur de service régional ou départemental de police ou de l’administration concernée, et par les commandants de légions de gendarmerie nationale.

L’unité d’organisation et de commandement (UOC) est composée de policiers, de gendarmes, d’un fonctionnaire des impôts et d’un fonctionnaire des douanes. Elle assure la préparation et l’organisation des opérations d’intervention et d’assistance, et est responsable de leur bonne exécution, sous la direction de l’autorité administrative ou judiciaire d’emploi.
Le ministère de la Justice

Les magistrats dirigent l’action de la police et de la gendarmerie et décident de la suite à donner aux infractions constatées. Les faits les plus graves donnent lieu à l’ouverture d’une information, l’enquête est alors dirigée par un juge d’instruction puis le tribunal, ou parfois la cour d’assises pour les trafics en bande organisée, juge de la culpabilité des prévenus et décide les sanctions à appliquer. Les peines sont exécutées par l’administration pénitentiaire, les mineurs sont pris en charge par des éducateurs de la protection judiciaire de la jeunesse.

Au ministère de la Justice, le bureau de la lutte contre la criminalité organisée, le trafic de stupéfiants et le blanchiment assure l’animation et la coordination de l’action publique.

Par contre il n’y a pas de juges spécialisés dans les infractions à la législation des stupéfiants. Certains juges d'instruction sont cependant spécialisés dans les affaires de trafic.
Les résultats

Cette mobilisation d’un grand nombre d’acteurs ainsi que le développement de coopérations et d’accords internationaux porte ses fruits dans le sens où les saisies de drogues et les arrestations de trafiquants sont en constante augmentation.

La création des GIR a renforcé [color=#4000BF]l’efficacité de la police et de la gendarmerie dans la lutte contre le trafic.
[/color]
Par contre, la consommation de certaines drogues comme le cannabis, la cocaïne et l’ecstasy sont également en augmentation dans notre pays, montrant par là toute la difficulté d’assurer sur l’ensemble du territoire une police efficace dans ce domaine."...

Bon travail.

[francine letoile]

Suite...
(l'informaticien n'est pas encore passé pour emporter le disque dur... donc j'ai encore quelques minutes devant moi)

D'autres lectures sont les bienvenues.

D'autant que cette histoire de d... nous concerne tous, ça change des petits bobos amoureux !

Lune (au passé): situation "nocturne" de l'agression ? Enquêtes incomplètes (car trop "d'intérêts personnels en jeu")
AMOUREUX : rencontrer des gens (Bac...) afin de nourrir votre choix ou d'apaiser vos doutes ?

En solution :

SN (droite) en solution à la Force renversée : donner un coup de "balai" aux informations reçues et à l'inertie ambiante (Force renversée) qui colle à ce dossier ?
RdF et Bateleur (à l'envers) : même valence, mais à un niveau supérieur. Bateleur à l'envers : "l'agresseur" ne gérerait plus son territoire aussi bien que par le passé ? Suite à cette RdF qui apporte une nouvelle "surprenante voire inédite" ? (Vos demandes d'intervention/d'information au niveau élargi, voir département, si ce n'est national ?)
Tempérance appelle la communication (c'est donc qu'il y a nécessité de COMMUNIQUER, mais le tirage ne dit ni comment, ni où).
Sauf que la Justice (renversée) ne ferait pas son "travail" ?
Le tirage propose quand même 8 lames; pour moi, c'est signe qu'il y a lieu de mettre en marche (ou remettre ?) cette Justice...

"La chambre du conseil du 22 mai 2014 va t elle décidé d'un non lieu dans l'affaire à charge de S.C. ?""
Je ne sais quoi répondre à cette question, dans la mesure où je ne saisis pas quelle lame serait en rapport avec ce non-lieu...

Bonne journée

[Lion88]

Bonjour,

La drogue n'est pas le principal problème de ce type, il est dealer certes (il fait d'ailleurs livrer la marchandise par son fils cadet)mais le problème est qu'il est certainement protégé par la police de notre ville.
Depuis que nous avons reçu la convocation de la chambre du conseil (qu'il a reçue probablement), nous sommes victimes d'appels anonymes (on téléphone et lorsque nous décrochons, ça raccroche) 4 à 5 fois par jour, notre n° est dans l'annuaire, il n'est donc pas difficile de nous trouver. Sans certitude nous pensons que c'est lui.
Nous avons donc contacté la police afin de prévenir de cela et avons également dit que s'il nous arrivait quelque chose de suspect, il fallait directement penser à lui.
Le policier nous a répondu qu'il en informait ses collègues. Bizarrement, depuis notre entretien avec la police, les appels se sont arrêtés. Si la police est de conivence avec lui, je comprendrais mieux pourquoi toutes ces erreurs de procédures.
J'ai donc 2 questions à poser:

"S.C. est-il l'auteur des appels anonymes à notre égard?"




"La police de ma commune a t elle des contacts réguliers avec S.C.?" (je ne sais si la question est bien posée)









Merci d'avance pour un retour, tant de questions me passent par la tête, j'aimerais tant que justice soit faite et que tous soient punis.
Lion

[Lion88]

Bonsoir,

L'audience est pour dans 2 jours et nous avons appris que l'agresseur était poursuivi pour plusieurs agressions. La chambre du conseil va donc décider si l'agresseur est poursuivi ou s'il décide un non lieu. Nous sommes allés mon époux et moi chez notre avocate qui a le dossier complet et, nous y avons appris qu'il y a des chances que l'agresseur soit poursuivi pour coups et blessures volontaires. Nous aurions préférés que la tentative d'assassinat soit retenue (quand on lit le dossier ça saute aux yeux) mais bon on se dit que s'il est poursuivi c'est déjà ça. Notre avocate (très positive) nous a dit que de toute façon il n'aurait rien comme inculpation

2 questions me viennent:

1. Notre avocate va t-elle nous défendre correctement au tribunal?





2. Lors de l'audience du 22 mai 2014 à la chambre du conseil, les faits vont ils être requalifiés en tentative d'assassinat?





Déjà un grand merci pour votre intervention,

Lion

[francine letoile]

Bonsoir,


je n'ai pas toutes les réponses, mais je vais en essayer quelques-unes. J'aurais même plutôt des questions...

"Il y a 13 ans, il a été incarcéré mais acquitté (Je ne sais pas pour quels faits). "
Votre avocate a-t-elle su pourquoi il n'avait pas été condamné ?

Vous avez pris connaissance du dossier. L'avocate a-t-elle repris tous vos arguments ? Sa réponse vous satisfait-elle ?

"Notre avocate (très positive) nous a dit que de toute façon il n'aurait rien comme inculpation"
Je n'ai pas bien compris ! S'il n'était pas inculpé, alors à quoi ça sert de passer devant un tribunal ?
Il y a des faits réels : drogue, rixe nocturne, passé obscur de l'agresseur, agression et tentative d'assassinat...

SN face au Pendu : l'audience serait-elle reportée pour une raison où une autre ? Ou même le tribunal pourrait se déclarer "incompétent" pour juger de cette affaire ? Ou encore surprise proposée par l'avocat de l'agresseur ?

Il ne s'agirait pas d'un motif lié à la personne de votre avocate, mais quelque chose de l'ordre "d'un imprévu" ?

L'Impératrice renversée (au passé) ferait-elle référence au premier avocat ? Tempérance ferait référence à votre avocate actuelle ? Que s'est-il passé entre ces deux avocats (si vous le savez bien sûr)?

"l'audience du 22 mai 2014 à la chambre du conseil, les faits vont ils être requalifiés en tentative d'assassinat"


Pourquoi l'affaire est-elle inscrite devant la Chambre du Conseil ? Y a-t-il une raison particulière ?

J'ai du mal à interpréter car comment relier telle lame à tel individu ou événement ? D'autres lecteurs sont les bienvenus !

La Papesse semble tenir secrètement une pièce ? Elle viendrait donc qualifier ce Pendu, et, du coup, ferait avancer la RdF laquelle conduit vers Tempérance ? On adoucirait la situation ? Plutôt dans le sens de la procédure ? Etes-vous certaine que c'est bien la chambre du conseil qui est à même de juger cette affaire ?

Papesse renverrait plutôt à de la procédure ? Et votre dossier serait bien reporté (déplacé ?) au vu du Chariot ?

1. Notre avocate va t-elle nous défendre correctement au tribunal?

Etoile et SN se tournent le dos ! Entre les deux : un vide (un non-dit ?)

SN pointe le Pendu : arrêt sur image !


2. "...l'audience du 22 mai 2014 à la chambre du conseil, les faits vont ils être requalifiés en tentative d'assassinat? :
Soleil pointe sur le Pendu (au passé) : la Chambre est censée faire la lumière sur les événements de décembre 2012 ?

Mais Etoile et SN (renversés au futur, peut-être au 22/05 ?) indiqueraient bien la difficulté pour les parties au procès... de s'expliquer ?

Ce sont 4 lames qui se retrouvent dans les deux tirages, en des positions et à des endroits différents. Il y aurait bien quelque chose à démêler dans tout ça .... mais je ne vois pas très bien...

Qu'en pensez-vous ?

Bonne soirée