Bonjour Christine,
Merci d'avoir regarder mon tirage.
je pense que c'est effectivement possible car la solution semble indiquer que la negociation serait à privilegier 
(ligne du dessous : on demarre par le jugement mais si on force on va vers une justice problematique au futur, solution c'est la negociation qui va permettre de faire tourner la roue).
Ceci dit, cela n'empeche pas d'utiliser en 1er la menace du proces avec gros dommages et interets pour ensuite permettre une meilleure negociation pour se faire restituer les fonds....
Mais ça, c'est l'avocat qui pourra t'indiquer la meilleure marche à suivre 
Oui, je pense que c'est comme ca qu'il va procédé l'avocat.
Mais j'attends de ces nouvelles, pour voir comment il va s'y prendre, tout dépends aussi des réaction de tous les parties adverse, l'avocat d'Espagne, l'agence immobilier et le vendeur.
Il leurs a écrit et il attends des nouvelles de leurs part, déjà à savoir ci ils peuvent fournir le document comme quoi la piscine est régularisé.
Pour moi il ne l'ont pas fait, puisque moi j'ai encore demandé le document il y a 15 jours et on m'a rien envoyé.
On t'il un papier qui confirme la régularisation de la piscine

On dirait que le vendeur tourne le dos à la piscine, et la justice, la légalisation de cette piscine, vient seulement au future comme solution.
La 11 est le nr de la maison et moi l'impératrice, je me détourne de la maison pour regarder la justice.
Le pape, l'avocat, me donne la bénédiction de m'en aller, le mat, juridiquement c'est possible, la justice en solution, pour prendre un nouveau départ dans le bateleur, qui a récupéré tous les éléments, les deniers inclus.
Et le regard du mat va vers l'amoureux, donc un autre choix, une autre place, quelque chose que j'aime encore mieux.
Que en pense tu ?
On tout les cas cela confirme aussi encore une fois que c'est important que j'écoute vraiment mon ressenti, puisque je me rappel bien que mon mari ma dit le soir dans l'hôtel après avoir fait la réservation de la maison, " tu n'as pas l'air enthousiaste" et c'est vrais je sentais que quelque chose n'allait pas, mais je ne savais pas bien dire quoi.
Bises,
Marie Madeleine